La façon dont François a mené son dernier combat m’inspire un profond respect et une infinie tristesse. Car, à une époque où la science et la médecine, parce qu’elles en ont le pouvoir et la légitimité, s’approprient trop souvent nos derniers instants, on ne peut que pleurer et saluer le courage de celui qui a préféré s’y soustraire.
Bernard (texte lu à la cérémonie)
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