samedi 17 janvier 2009

François durant l'été 1949 (2)








Le même petit François à 6 ans,
en agrandissement

François durant l'été 1949

Je ne résiste pas au plaisir de montrer François si mignon en tentant de se protéger de la lumière lors d'une photo de famille (à 7 enfants, seulement) durant la première communion de Madeleine pendant l'été 1949. Chacun des membres de la famille est d'ailleurs magnifique !

mercredi 14 janvier 2009

Le Varech

François en pleine concentration, avant une balade en mer sur le Varech... (photo envoyée par Florence)

dimanche 7 décembre 2008




Pourquoi faut-il se dire adieu ? Michel Polnareff
Cette chanson est l'une de celles que François a envoyées à Christian avant de partir.

Croisière dans les calanques de Cassis en juin 2008

samedi 6 décembre 2008

François, mon grand-frère


Je veux juste te dire que je ressens une profonde tristesse,
un vide immense qui n’a d’égal que l’effroi que m’inspire la violence
de ton geste.


J’aurais aimé passer encore un moment avec toi, mais le désespoir t’a entraîné là où tu n’aurais pas voulu aller, enfin pas si tôt.

Il me semble que nous aurions pu apprendre nous aussi, auprès de toi, l’attention et la compassion que tu manifestais à tous ceux que tu allais voir à l’hôpital, oncles, cousins, amis…
Je me souviens de la joie avec laquelle tu allais pêcher des petites crevettes roses pour les porter à Papa (mourant) à la clinique d’Auray.

Je ne peux m’empêcher d’en vouloir aux médecins qui, sans le vouloir, mais par maladresse, ont provoqué une angoisse insoutenable et précipité ta fin (sans te laisser aucune espérance, alors que toute opération comporte aussi une part d’imprévu et de bonnes surprises, j’en ai des exemples).

Je garde le souvenir d’une accalmie en mer, au large de l’île de Groix, où tu chantais gaiement avec nous : « Qu’est-ce que j’ai dans ma p’tite tê-te à rêver comme ça le soi-oir… »

Maintenant que tu as retrouvé là-haut nos chers parents, je sais que tu vas continuer à partager nos joies et nos peines.

Tu restes de toute façon vivant dans nos cœurs.

Florence

vendredi 5 décembre 2008

A Claire, Geneviève, Laurence et Olivier

La façon dont François a mené son dernier combat m’inspire un profond respect et une infinie tristesse. Car, à une époque où la science et la médecine, parce qu’elles en ont le pouvoir et la légitimité, s’approprient trop souvent nos derniers instants, on ne peut que pleurer et saluer le courage de celui qui a préféré s’y soustraire.


Bernard (texte lu à la cérémonie)